J’imaginerais propose à des enfants et adolescents avec autisme ou autres troubles envahissants du développement de participer le samedi et durant les vacances scolaires à des activités artistiques, culturelles et sportives en Ile-de-France.

Historique
La première journée de J’imaginerais a eu lieu le 11 décembre 2010, puis est petit à petit devenu une association avec des activités régulières pour aujourd’hui proposer des temps d’accueil tous les samedis et durant les vacances scolaires, dans trois espaces d’accueil pour un groupe d’enfant, un groupe d’adolescent et un groupe d’adulte.
Ses lieux d’accueil
Son siège social est installé dans le 10ème arrondissement à la Maison de la Vie Associative et Citoyenne.
Ces activités ont lieux :
– Salle des Petits Poètes – CRL10 : pour le groupe des enfants.
– Centre social Pari’s des Faubourgs : pour le groupe des adolescents.
– Centre social Aires 10 : pour le groupe d’adulte.
L’association s’inscrit pleinement dans la ville et exploite les déplacements en son sein avec les enfants.
Public et modalités d’accueil
J’imaginerais s’adresse principalement aux enfants avec autisme et autres troubles envahissants du développement, résidant en Île-de-France, qu’ils proviennent du cercle familial privé ou de l’Aide Sociale à l’Enfance.
Les journées accueillent des groupes de 6 jeunes maximum, chacun encadré par un animateur·rice expérimenté·e. Les groupes sont constitués et les activités choisies en fonction des âges et des niveaux cognitifs des enfants.
L’encadrement dit du « un pour un » et la préparation des activités en phase avec les groupes laissent tout l’espace nécessaire à l’éveil des enfants.
Par son action, l’association permet également aux familles de s’accorder un moment de répit et de consacrer du temps à leurs autres enfants.

Objectifs de l’association
- Éveil des jeunes : libération de l’imaginaire, développement de la créativité, stimulation de la curiosité par l’appréhension de nouveaux média ;
- Intégration : socialisation par le groupe, rencontre entre les jeunes et la collectivité, sensibilisée ou non ;
- Autonomie : interactivité des ateliers, implication dans la vie du groupe, acquisition d’autonomie par la rencontre et l’échange avec l’autre, valorisation des enfants.
Au-delà des objectifs vis-à-vis des jeunes, J’imaginerais espère aussi par la rencontre sensibiliser les populations et aider à la compréhension de ce handicap.La conception même de l’association, des ateliers et des projets autour des enfants, est le fruit d’une réflexion collective. L’équipe d’animation est profondément investie dans tout le projet et croit à la nécessité de cet investissement.